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« Disque touffu et passionnant, Rite Of The End est une épreuve qui apporte son lot de récompenses et devrait ravir toute personne généreusement pourvue d’oreilles aventureuses. » (Benzine)
« Ils ne sont pas nombreux, ces albums, à pouvoir jouer ce rôle d’élévation des âmes. « Rite of the End », du compositeur Stefan Wesolowski, est l’un d’entre eux. » (Gonzaï)
STEFAN WESOLOWSKI
Une musique panoramique, « grand angle » comme diraient les cinéphiles, et qui s’écouterait comme le chaînon manquant entre les grandeurs de Richard Warner et l’épure orchestrale d’un Nick Cave, c’est l’ambition de Rite of the End du compositeur polonais Stefan Wesołowski, deuxième album à paraître chez Ici d’ailleurs après Kompleta en 2015.
Débuté à l’occasion d’une commande de Stéphane Grégoire, patron d’Ici d’ailleurs qui avait demandé à Wesołowski d’écrire les musiques de l’expo photo de Francis Meslet, le disque Rite of the End, de l’aveu de l’auteur, ne ressemble in fine à rien de ce qui avait été commandé initialement. À rien de vraiment connu, non plus, tant les références du compositeur et violonistes polonais rebattent les cartes et mélangent dans un même jeu des figures aussi hétéroclites que Prokokiev, le chant grégorien, Steve Reich ou même Michael Mann, pour cette impression de travelling gigantesque qu’on ressent à l’écoute de chacun des six morceaux qui composent cette pastorale céleste.
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Panoramic music, “wide angle” as the cinephiles would say, and to be heard as the missing link between the grandeur of Richard Warner and the orchestral purity of a Nick Cave, this is the ambition of Rite of the End by Polish composer Stefan Wesołowski, the second album to be released by Ici d’ailleurs after Kompleta in 2015.
Begun in response to a commission from Stéphane Grégoire, head of Ici d’ailleurs, who asked Wesołowski to write the music for Francis Meslet’s photo exhibition, Rite of the End, by the composer’s own admission, bears no resemblance to what was initially commissioned. The Polish composer and violinist’s references reshuffle the deck, mixing together figures as eclectic as Prokokiev, Gregorian chant, Steve Reich and even Michael Mann, to create the impression of a gigantic travelling shot that one feels when listening to each of the six tracks that make up this celestial pastoral.
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Une musique panoramique, « grand angle » comme diraient les cinéphiles, et qui s’écouterait comme le chaînon manquant entre les grandeurs de Richard Warner et l’épure orchestrale d’un Nick Cave, c’est l’ambition de Rite of the End du compositeur polonais Stefan Wesołowski, deuxième album à paraître chez Ici d’ailleurs après Kompleta en 2015.
Débuté à l’occasion d’une commande de Stéphane Grégoire, patron d’Ici d’ailleurs qui avait demandé à Wesołowski d’écrire les musiques de l’expo photo de Francis Meslet, le disque Rite of the End, de l’aveu de l’auteur, ne ressemble in fine à rien de ce qui avait été commandé initialement. À rien de vraiment connu, non plus, tant les références du compositeur et violonistes polonais rebattent les cartes et mélangent dans un même jeu des figures aussi hétéroclites que Prokokiev, le chant grégorien, Steve Reich ou même Michael Mann, pour cette impression de travelling gigantesque qu’on ressent à l’écoute de chacun des six morceaux qui composent cette pastorale céleste.
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Panoramic music, “wide angle” as the cinephiles would say, and to be heard as the missing link between the grandeur of Richard Warner and the orchestral purity of a Nick Cave, this is the ambition of Rite of the End by Polish composer Stefan Wesołowski, the second album to be released by Ici d’ailleurs after Kompleta in 2015.
Begun in response to a commission from Stéphane Grégoire, head of Ici d’ailleurs, who asked Wesołowski to write the music for Francis Meslet’s photo exhibition, Rite of the End, by the composer’s own admission, bears no resemblance to what was initially commissioned. The Polish composer and violinist’s references reshuffle the deck, mixing together figures as eclectic as Prokokiev, Gregorian chant, Steve Reich and even Michael Mann, to create the impression of a gigantic travelling shot that one feels when listening to each of the six tracks that make up this celestial pastoral.