Albums
- Quick View
- Choix des options Ce produit a plusieurs variations. Les options peuvent être choisies sur la page du produit
Dernière vidéo
Accessible tout en proposant une écriture remarquablement exigeante, ce disque, et c’est là sa force première, est une véritable porte d’entrée vers des genres parfois méconnus du grand public. Car The Spectacular Nowhere est issu de l’esprit d’un mélomane éclairé et fait écho aux compositions de Philip Glass, Steve Reich ou Moondog (« Ode To Louis Hardin », un hommage avoué au viking de la 6ème avenue) mais renvoie également à un registre plus pop (on pense par exemple à Hood et Portishead). Une œuvre dont la tension augmente progressivement, édifiant un univers ambigu où les drones fantomatiques côtoient les mélodies les plus pures, le tout irradié par des incursions parfois plus bruitistes, pour confronter l’auditeur à ses craintes : la peur de la solitude, la victoire de la médiocrité, les angoisses du quotidien… Mais si l’album se veut sombre et mélancolique, il ne manque pas d’offrir des moments plus lumineux, moins anxiogènes, comme pour apporter ses propres réponses aux traumas qu’il dépeint.
Et s’il s’agit là d’un disque éminemment personnel, il séduit également lorsqu’il accueille les voix de David Callahan (Moonshake, Wolfhounds), également auteur des textes et Ida Alfstad, dont les interventions poussent The Spectacular Nowhere dans ses derniers retranchements. Un album hors-catégorie, de ceux qui possèdent multiples niveaux de lecture, entre réflexion, défrichage, et pur plaisir d’écoute.
« The Spectacular Nowhere est une œuvre ambitieuse. Et unique. » (Sun Burns Out)
« Un de ces albums qui vous embarquent profondément, qu’on laisse reposer, et dont la richesse s’apprivoise petit à petit à chaque écoute. » (Froggy’s Delight)
MANYFINGERS
Accessible tout en proposant une écriture remarquablement exigeante, ce disque, et c’est là sa force première, est une véritable porte d’entrée vers des genres parfois méconnus du grand public. Car The Spectacular Nowhere est issu de l’esprit d’un mélomane éclairé et fait écho aux compositions de Philip Glass, Steve Reich ou Moondog (« Ode To Louis Hardin », un hommage avoué au viking de la 6ème avenue) mais renvoie également à un registre plus pop (on pense par exemple à Hood et Portishead). Une œuvre dont la tension augmente progressivement, édifiant un univers ambigu où les drones fantomatiques côtoient les mélodies les plus pures, le tout irradié par des incursions parfois plus bruitistes, pour confronter l’auditeur à ses craintes : la peur de la solitude, la victoire de la médiocrité, les angoisses du quotidien… Mais si l’album se veut sombre et mélancolique, il ne manque pas d’offrir des moments plus lumineux, moins anxiogènes, comme pour apporter ses propres réponses aux traumas qu’il dépeint.
Et s’il s’agit là d’un disque éminemment personnel, il séduit également lorsqu’il accueille les voix de David Callahan (Moonshake, Wolfhounds), également auteur des textes et Ida Alfstad, dont les interventions poussent The Spectacular Nowhere dans ses derniers retranchements. Un album hors-catégorie, de ceux qui possèdent multiples niveaux de lecture, entre réflexion, défrichage, et pur plaisir d’écoute.